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    Son ventre rond tissait leurs voix en toile coulant aux voûtes et verseaux, qu’un écho enchâssé dans l’espace jusqu’au pierre des rinceaux
    La vie en ut achromatique de gouttelettes posées sur les vitraux.
    Il serrait dans sa main une goutte de sang../..N a


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    Cet été le chemin qui domine au capo Ladroncello, m’avait invité à visiter la forêt de Tartagine Melaja, les gorges de l’Asco, son village, et le pont génois. La route qui mène vers la rivière serpente sur le flanc de la vallée. Le long des fossés sous les ombrages des  figuiers, poussent des fleurs, l’immortelle. C'est là qu'en descendant, un grand chien jaune s’était invité accompagnant mon chemin, à distance d’un compagnon de rencontre. Quand près du pont soudain il disparut comme l’aurait fait un génie malicieux. C’est donc assis sur la margelle les pieds pendant au dessus du ruisseau que j'admirais les piles plantées dans les reflets d’un ciel bleu, dans cet état de grâce confronté à l’instant heureux,  soudain une voix susurrée à l’oreille me dit ces mots <<les pêcheurs sont souvent des poètes! Mais il ne faut pas cueillir les immortelles, car chacune d'elle exhale une âme qui sommeille>> Et puis mon cri qui s’enfonce dans la froideur de l’eau, mon corps sous des cercles  s’enferme dans les flots.  Elle voulut que je fusse sans contexte immortel../..N a


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    Cet été le chemin qui domine au capo Ladroncello, m’avait invité à visiter la foret de Tartagine Melaja, les gorges de l’Asco, son village et son pont génois. La route qui mène vers la rivière serpente au flanc de la vallée, sous le village planté sur le rocher. Le long des fossés sous les ombrages aux figues gourmandes, poussent des fleurs au nom évocateur d’immortelle. C'est là qu'en descendant, un grand chien jaune s’était invité à accompagner mon chemin, à distance d’un compagnon de rencontre. Quand prés du pont soudain il disparut comme par enchantement. C’est donc assis sur la margelle les pieds pendants au dessus de la rivière que j'admirais les piles plantées dans les reflets d’un ciel bleu. C’est là souvent dans cet état de grâce que le merveilleux confronte l’instant heureux. Quand soudain figé par une voix susurrée derrière mes oreilles, j’entendis.

     ((Les pêcheurs sont souvent des poètes! Mais il ne faut pas cueillir les immortelles, car chacune d'elle exhale une âme qui sommeille)) Et puis mes cris étouffés dans le flot, où des grands cercles recouvrent mon corps s'enfonçant dans la froideur de l'eau, un rêve?

    Ou peut être, elle voulut que je fusse sans contexte, immortel../.. N a


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    Quoi qu’il en soit, me voilà tout en branle-bas, ému, j’accroche une boule bleue en guise de noeud pap. Deux étoiles suspentes aux oreilles, des bulles de champagne dans un verre d’un espoir fou. J’écarquille les yeux, le monde entier c’est vous, je pourfend l’horizon de mon verre comme un escrimeur. C’est là aussi derrière cet écran que je sens que vous êtes. Je suis un blogueurs heureux le verbe tremblant, n’osant vous sortir mon baratin je me replie en désordre, danse sur un pied comme une envie de p… puis je vous le dis tant pis.. ! J’aime passer mes nuits à vous lire mes ami(e)s. bonnes fêtes de  Noël.


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